hello, bienvenue par ici ! tout d'abord, merci de vous intéresser à ce pré-lien. rentrons directement dans le vif du sujet : concernant l'activité, je ne vais pas être derrière vous à exiger une réponse dans l'immédiat, mais une activité régulière est préférée. quant au rp, l'anglais est un plus - pour les dialogues - le français n'est pas proscrit, évidemment, toutefois j'avoue avoir un peu de mal avec l'emploi de la deuxième personne mais autrement je suis super flexible tant que le post n'est pas bourré de fautes et que vous prenez du plaisir à écrire, si si. je vous prie néanmoins de ne considérer ce personnage que si vous êtes certain⋅e d'être présent⋅e et de poster régulièrement. si vous avez des questions, souhaitez simplement discuter, n'hésitez surtout pas à m'envoyer un petit mp (ou demander mon discord parce que je suis une quiche avec les mps, je n'vais pas vous mentir). pour ce qui est de l'avatar, si ces têtes ne vous reviennent pas, faites vos propositions, ça peut se négocier. je ne suis pas très - trop - difficile et suis toujours ouverte à la discussion. le prénom est également modifiable, c'est uniquement pour éviter de l'appeler x ou y. et si tout ce petit paragraphe ne vous a pas fait fuir, je vous remercie de votre patience et vous souhaite bonne lecture.   

un début de trentaine › métier au choix › libre
ronen rubinstein › darren barnet.

partner (in crime/life) Enemies to best friends to... lovers? Rien, absolument rien, ne prédestinait ces deux-là à s'adresser la parole plus d'une fois. La première rencontre était censée être la dernière. Annoyed at first sight. Un premier date qui n'avait de légitime que son appellation. Un désastre aux yeux des deux partis. Elle lui a donné un faux nom, s'est inventée une vie - mauvaise habitude - il lui a conté le récit de toute la sienne. Ils ont quand même fini la soirée ensemble, acceptant au petit matin de ne plus jamais se revoir. Faut croire que l'ami qu'ils ignoraient avoir en commun n'avait pas reçu le mémo, les astreignant à un blind date... moins terrible que le premier, à la grande surprise des deux protagonistes. Rien qui ne justifiait pourtant un troisième rancard, ni un quatrième, cinquième, et encore moins un quinzième... [ disastrous dates 101 : il a commis une erreur impardonnable lorsqu'il s'est présenté au chaiya café avec un gobelet starbucks sur lequel trônait fièrement le prénom john. elle a soudoyé le serveur pour qu'il déverse le contenu de son verre sur sa blouse afin d'abréger la rencontre. il lui a fait faire le tour des quartiers londoniens en voiture, désignant les habitations occupées par ses ex petites amies. elle a commandé les plats les plus chers du menu, s'est absentée pour se repoudrer le nez, n'est jamais revenue à table. il lui a démontré sa galanterie à plusieurs occasions - luttant contre la fraîcheur d'une nuit de printemps : i guess i should offer you my jacket - marque un temps de pause - but then i'd be cold // un petit jeu instauré entre eux, rituel qui les amuse grandement mais irrite profondément le reste du monde ] Il est le rebound guy par excellence ; celui avec qui elle passe ses jours et ses nuits, dans ses bras, sous les draps pour pallier la solitude, en attendant de remettre le couvert avec son ex. 'Suffit qu'elle lui annonce avoir rompu - pour la énième fois - avec son petit ami pour qu'il mette sa vie de bachelor qui se respecte en pause, faisant passer Joan et leur relation devant tout et tout le monde. L'insouciance et la légèreté qui caractérisait leur relation se fait la malle lorsque le véhicule de Wesley percute une autre voiture. Dispute à la source d'un accident dont ils sortent indemnes, ou presque. S'ils guérissent de leurs blessures physiques, leurs rapports souffrent encore de cet incident. Joan a beau affirmer avoir tourné la page, lui assurant sans cesse qu'elle se porte bien, il n'a de cesse de veiller à son bien-être, quitte à la surprotéger, ce qui a le don d'irriter la belle qui n'ose rien dire de peur d'intensifier la culpabilité de son ami. Il a toujours été ce meilleur ami, celui que d'autres appellent son âme sœur, mais Joan ne sait pas, perdue dans un entre-deux. Elle l'aime bien, beaucoup trop même, mais il a la fibre protectrice, de celles qu'elle porte aux nues dans ses romans à l'eau de rose, mais qui l'exaspère et l'étouffe au quotidien. Il faut croire que fiction et réalité ne font pas toujours bon ménage. Elle souhaite retrouver le Wesley qu'elle a toujours connu, celui qui faisait de son quotidien un enfer, celui qu'elle avait promis d'épouser à quarante ans s'ils n'avaient pas encore trouvé la perle rare ; il souhaite retrouver celle qui ne fuyait pas les problèmes, ne se cachait pas derrière ce sarcasme qui ne laisse pas de place aux discussions sérieuses.